Voici une bonne nouvelle , la tablette de Google NEXUS 7 1B013A ASUS, en precommande chez DARTY pour la somme de 237,40 euro frais de port compris.
pour rappel:
Une fois de plus L'ÉSA de Tourcoing expérimente le croisement des outils numériques dans la production artistique. Lors de cette rencontre un groupe d'étudiant de L'Ésa a pu assembler une Imprimante 3D (Ultimaker) dans un premier temps, et recevoir un Prix qui récompense l'équipe gagnante.
Organiser avec les partenaires du projet (lille design,Meuh lab,fablab lille,sculpteo,owni ,esa tg,...)
Quelques Images, la suite en 2012-2013 (phase de réalisation).
Avec l'accompagnement et les conseils de Joris van Tubergenen conférence vidéo (Protospace.nl)
Les personnes présentes: Nathalie Delbard Dork Zabunyan Yann Coello Jean-Michel Baconnier Bertrand Dezoteur Larisa Dryansky Joachim Lepastier Francesco Mattuzzi ...
Suivi du week-end numérique Pina de W.Wenders et Avatar de Cameron.
Voici une astuce trouver sur le net (merci martial), il est possible d'installer les codecs de compression de Apple sur un MAC , pour ensuite utiliser l'exportation de vos vidéos avec avec le Apple ProRes 422 d'apple en utilisant ADOBE PREMIERE PRO CS4, CS5,.... sur MAC.(ceci n'est pas testé sur PC)
si vous n'avez pas FINALCUT...X ou si vous voulez garder votre version FINAL CUT 6, 7,...
1. Télécharger le pack codec ICI
2. Télécharger UNPKG, logiciel de décompression de pack ICI
3. lancer UNPKG, et glisser le fichier ProAppsQTcodes.pkg dans la fenêtre.
4. copier les fichiers vers votre ordinateur : /bibliothèque/QuickTime/...
Ensuite lancer votre logiciel Premiere Pro et choisir exportation QuickTime, avec votre codec vidéo Apple ProRes 422 (LT)
Voici une restitution du workshop qui s'est déroulée à l'école nationale supérieure d'architecture et de paysage de Lille (ENSAPL) avec des étudiants de l'école supérieure d'art du Nord pas de Calais site de Tourcoing (ESA-NPdC TG), anciennement ERSEP.
Durant 5 jours , l'ensemble des étudiants des deux écoles ont pu découvrir les techniques de fabrication de volumes, ainsi que le procédé de mapping vidéo.
En passant par l'usage de PHOTOSHOP pour localiser leur volume dans l'espace ils réalisent (une carte des masques), et ensuite construisent leurs contenus sousAFTER EFFECT,
la dernière étape consitant à la projection vidéo Live avec le logiciel ISADORA(non abordé pour ce workshop), projection via VLC.
L'ensemble du workshop fut encadré par 2 enseignants de chaque école, avec la présence de l'artiste invité Cyprien Quairiat.
L'ensemble du travail de cette semaine fut finalisé par un vernissage, avec l'ensemble des restitutions des différents workshop de la semaine (photo argentique, architecture, ...).
L'installation comporte les volumes des étudiants, ainsi que 5 vidéos projecteurs (matériel de ENSAPL), piloté par ordinateur.
L'ensemble des volumes comporte un contenu vidéoprojeté sur chaque face.
Cette nouvelle expérience ouvrira de nouveaux champ d'exploration, ... bravo aux participants....mais aussi aux encadrants pour leurs implication à 200%.
Autrefois, l’enseignement de l’art était surtout celui d’un métier : peintre, maître verrier… Le savoir-faire technique étant devenu second dans la création artistique contemporaine, est-il encore adéquat de parler de la transmission de l’art sous l’angle du métier ? Ce que les artistes transmettent aujourd’hui dans les écoles d’art, les conservatoires, c’est l’art lui-même, tel qu’ils le portent dans leurs créations personnelles. Peut-on alors encore parler d’apprentissage ? L’idée d’éducation des étudiants artistes et musiciens à la découverte de leur propre singularité n’est-elle pas plus appropriée ?
Avec la participation de : Renaud Auguste-Dormeuil, artiste et professeur d’art plastique ; Anthony Girard, compositeur ; Bernard Marcadé, historien d'art d’art et pédagogue.
Afin de poursuivre son aventure née il y a bientôt 5 ans, L’hybride a besoin de son réseau et de son public… De votre mobilisation dépendra sa survie.
En effet, L’hybride est aujourd’hui en danger.
Tout d’abord, la pression d’une partie du voisinage ne nous laisse d’autre choix, pour ne pas fermer, que d’insonoriser le lieu et de créer un espace fumeur.
Nous devons également mettre complètement aux normes de sécurité.
Ces travaux très coûteux doivent se faire à court terme et ne seront possibles que si nous avons un soutien financier des collectivités publiques, additionné à celui d’entreprises et de notre public.
Par ailleurs, l’association est sous-financée depuis sa naissance. Nous avions fait le choix de créer ce lieu sans moyens publics, parce que nous y croyions. Nous espérions faire nos preuves, montrer la pertinence du projet, et ainsi mobiliser dans un second temps des financements sur la base de résultats concrets.